jeudi 1 octobre 2009

Destin.

Je te méprise. Je te hais. Du plus profond de mes tripes, du plus profond de mon âme. Sache que j'exècre tout ce que tu représente, que l'évocation de ton nom anime en moi les sentiments les plus abjects. La simple suggestion de ton existence me retourne le cœur, le vague concept que tu entends me révulse, et l'unique fais de t'imaginer provoque en moi autant de plaisir qu'une castration sauvage. Tu es l'antithèse de mon existence, la bête noire de ma vie, le conglomérat de la connerie humaine : Tu n'existe pas, mais on t'as inventé, résonance de l'imbécillité de plus de six milliards d'individus, sans jamais en être la raison tu es la justification de la moisissure de nos vie. Tu ne peux pas mourir, mais je te le dis quand même : crève, crève, crève.


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